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 Quand dans la nuit, le loup || Taïr


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L'enfant Loup
Taïr d'Akari
Taïr d'Akari
L'enfant Loup




Power
••• Alias : Wolf
••• Power : Malédiction du Loup
Niveau ∆ :
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Quand dans la nuit, le loup || Taïr Vide
MessageSujet: Quand dans la nuit, le loup || Taïr   Quand dans la nuit, le loup || Taïr EmptyLun 24 Nov - 1:48

∆ NOM :  de la maison Akari
∆ PRENOM :  Taïr
∆ ÂGE :  Environ Dix-huit ans.
∆ NATIONALITÉ :   Akari
∆ LIEU DE NAISSANCE :  La Forêt Mère

∆ SEXUALITÉ :  La bible a dit « Adam et Eve », alors il fait les deux.
∆ SITUATION AMOUREUSE :  Célibataire, si on en croit les faits.
∆ MÉTIER :  Combattant
∆ GROUPE :  Egalitaire
Enfant Loup

« Entre chien et loup. »
∆ CLASSE :  Maudit
∆ NOM DE L'ATTRIBUTION :  La Malédiction du Loup.
∆ MAÎTRISE :  9/10
∆ DESCRIPTION :  Oui, c'est douloureux. Taïr a mal. Il souffre. C'est cette transformation qui fait ça, et il n'y peut rien. Ça peut durer plusieurs minutes, comme ça ne peut durer que quelques instants. Le blond se métamorphose, se change complètement, passe de l'un à l'autre ; rien ne l'empêche de rester sous une forme, mais il déteste se changer.
Le sauvage passe par tous les stades, de l'homme au loup, le loup-garou, l'enfant loup. Jamais il ne peut cacher sa nature. Il sent mieux que les humains, il voit plus loin, il entend plus de choses. Mais sous une forme humaine, tout cela reste assez limité. Mais vient là un autre problème. Son comportement primaire ne peut être effacé, au mieux apprivoisé. Mais il restera toujours ce qu'il est ; Taïr est un loup. Un loup du clan d'Akari.
Cette malédiction ne le transforme pas en loup. Elle le transforme en humain.
Lors de ses transformations, rien ne disparaît : ses vêtements se déchirent, ses sacs tombent. Il se transforme en bête, mais n'emporte pas ses affaires avec lui.

∆ INVENTAIRE :  
• Une épée ; utilisée pour se battre, et surtout se défendre, cet objet ne lui sert que sous forme humaine. Il l'a trouvé dans une forêt, en voulant protéger Maria. Il ne sait pas d'où cette arme vient, ni comment elle s'est retrouvée là, mais Taïr est déterminé à découvrir son histoire.
• Un bouclier ; offert par l'Oncle, objet dont Taïr ne peut pas se permettre d'oublier ; la protection lui a déjà servit plusieurs fois, le protégeant des assauts de monstres... ou d'humains. Cet objet aurait appartenu à leur famille des siècles durant. C'est avec fierté, et peut-être honneur, que Taïr porte se bouclier ancestral.
• Un éclat de joyau ; un simple éclat, de saphir, qui vient d'un vieux bijou. Il ne sert pas à grand chose, sinon à se rappeler du passé, et de ce qui est arrivé « ... car la vie est un comme une pierre brisée : il en existe plusieurs morceaux, qui ne veulent rester ensemble, tous différent, mais quand tu réussi à les souder ensemble, tu peux former un tout. »
• Une carte ; Une carte du monde, qui permet de s'orienter. Enfin, vu ce qu'elle montre, c'est plutôt pour se donner une vue d'ensemble du monde, et de toutes les terres à encore découvrir. Elle a été offerte par Marius.
• Un collier en croix ; un simple pendentif, qui ne sert à rien. C'est pour la foi, paraît-il. Mais Taïr n'a jamais éprouvé le besoin de vénérer la Déesse à chaque heure et en tout lieu. Elle vit avec chaque être. Après tout, n'est-elle pas l'Essence Mère, et lui, l'un de ses fils ? Mais c'est un cadeau de Maria, et il porte toujours ce petit collier en argent autours du cou.
« – Car en réalité, qui pourrait un jour aimer une bête ?
Vous ne connaissez pas Taïr. Vous ne voyez que la différence, la bête. La Créature. Moi, je le connais, je sais qu'il est étranger à nos coutumes, je sais qu'il vit différemment. Et ce, depuis son enfance. Ce n'est en rien ça faute si les Hommes. Si les Hommes sont des monstres. »

Taïr ressemble à un enfant sage. Il obéit à ses supérieurs, exécute les ordres sans poser de question. N'en a-t-il pas toujours été ainsi avec les loups ? Le blond est un guerrier, un protecteur, c'est pour cette raison qu'il se bat. Non, il n'aime pas le goût du sang qui emplit ses papilles lorsqu'il s'attaque à un Demi-être. Oui, le louveteau est quelqu'un de très calme, qui ne se bat que pour défendre. Pourtant, le jeune homme rêve souvent, et peut-être à raison ?, de partir, et de voyager, découvrir le monde. Mais ça place est ici, avec sa nouvelle meute. Les Deux-Pieds. C'est le nom de cette espèce, qu'est la sienne : les Hommes.

Sur son visage, on y voit toujours la même chose, un air impassible, qui ne laisse paraître aucune émotion. Mais chez les loups, il n'est même pas utile de montrer les sentiments, car ils les ressentent. Il en devient souvent difficile à dire ce que Taïr ressent vraiment. Dix-huit ans, suppose-t-on, et ce n'est déjà plus qu'un mur, un bloc froid de glace amer. Le jeune homme n'arrive à exprimer des émotions, de véritables, qu'en compagnie de personne qu'il apprécie, réellement. Un sourire ? Estimez-vous heureux, car vous n'obtiendrez peut-être pas plus de lui.
Taïr est quelqu'un d'honnête, il vous dira toujours son avis, si vous lui demandez en tout cas, et ne pensera même pas à mentir. Par ailleurs, chez les loups, il n'est même pas question de mentir, pour l'unique raison que ça n'existe pas chez eux. On pourrait dire qu'il est naïf. Néanmoins, cacher la vérité n'est pas un problème. Mentir sans mentir. L'Anar'ael. Le Jeu des Mots. Peut-être pas si naïf, finalement. C'est un jeu qui porte essentiellement sur le non-dit, et parfois, sur la confiance.

« – Mais il grogne, il hurle à la lune. Il déteste être touché ! Ce n'est pas un humain, mais un animal !
Et qu'espérais-tu d'un enfant qui n'a connu que les loups depuis son enfance ? Ce n'est un humain, d'accord. Il est plus que ça. C'est un enfant loup. »

Des regrets, des remords ? Non, Taïr n'en a aucun, car ce qui est fait l'est pour l'éternité, et même la Mère n'y pourra rien, peut importe le pouvoir qu'elle peut avoir sur l'Essence ou la nature. C'est un dogme qu'on apprend très jeune dans la Maison d'Akari, une meute de loups du Grand Nord, qui, étrangement, accepte mieux la présence des Deux-Pieds dans leur territoire que les autres meutes. Taïr a passé un temps à surveiller les humains, à les voir travailler, ne comprenant pas ce qu'ils faisaient. Aujourd'hui encore, le jeune homme ignore les trois quart de coutumes humaines, mais pourtant, il fait avec et vit avec eux, parmi les siens, ou ce qu'il pense l'être.
Comme tout être vivant, Taïr a des quiétudes, se demandant s'il va survivre, s'il a choisit le bon chef. Et surtout, il vient à se demander si c'est une sage idée de rester parmi les hommes. Mais ces questions-là, le blond ne se les pose que lorsque le sommeil refuse de lui venir en aide.
Le garçon ne connaît d'ailleurs aucune pudeur, est-ce nécessaire à des loups, d'après vous ?

Étant lui-même encore un enfant chez les loups, Taïr s'entend assez bien avec les enfants, arrivant même à lui arracher des sourires. Il s'en occupe bien. Après tout, le poste de surveillance des petits lui a déjà été confié.
Le garçon aime gambader, qu'il soit un loup ou un humain, tant qu'il sentira le vent fouetter son visage. Il aime se reposer, s'allonger dans l'eau clair des rivières, des étangs. Sentir le mouvement des vagues. Oui. Taïr est quelqu'un de calme. Ce n'est pas une bête.

« – Non. Ce n'est pas une bête... » soupira-t-elle entre deux sanglots.

I. Mort d'hiver

Le froid. Il s'abattait sur ma peau nue, tandis que mon corps luttait, en vain, contre les vents et les neiges. Mes lèvres bleues tremblaient alors que le reste de mon être se brûlait la peau contre la poudreuse glacée. Comment pouvais-je encore être en vie ? Il fallait s'imaginer que ce n'était un pur miracle.

Je continuais à avancer dans l'ignorance la plus totale ; vers où ? vers qui ? et pis encore, pourquoi ? Mais un étrange sentiment me disait de continuer devant moi, car là-bas, j'aurais des réponses. Je fouillait ma mémoire à la recherche de souvenirs, et je n'y trouva rien. Je compris alors que mon salut était devant moi, peut-être hors de cette forêt d'arbres nus et de ronces violentes et affamées...

Je finis par trouver, sur une route de fortune, une maison esseulée, peut-être à l’orée de la forêt, ou peut-être en son centre. L'hiver faisait rage et ce lieu fut mon unique abri contre les intempéries. Je frappais à la porte, dans un sursaut d'instinct racial. Pourquoi ce geste me semblait-il si important ? J’osais espérer une réponse rapide, pendant que la fatigue m'envahissait et que me sens se laissaient submergés par ce désagréable sentiment. Oui, je sentais le repos éternel s'approcher de moi, s'introduire en mon être, et mon cœur transformerait en un bloc rouge et glacé. La Mort, à grand pas, me suivait et avait cessée de se cacher.
La porte s'ouvrit avec fracas, laissant échapper un vif brouhaha ainsi qu'une jeune fille approchant de mon âge, se pouvait-il seulement ? Elle se tenait sur l'encadrement de la porte, ses lèvres rouges, formant un rond parfait dût à un probable étonnement, dont la raison m'échappait. C'est avant qu'elle ait pu prononcer un moindre mot, c'est dans ses bras, et dans la chaleur de l'intérieur, que je m'écroulais. Et pourtant, aimez-moi, Mère, soyez clémente envers l'un de vos enfants, et permettez lui qu'il se repose dans ces bras à l'odeur de noix et de miel. Ô prodigieuse Mère, laissez-moi encore dans les bras de Maria.


II. Perdu dans ses bras

Taïr se réveilla, allongé dans un amas de paille et de tissus. Il tenta de se rappeler ce qu'il faisait ici, dans cet endroit qui ne lui était pas familier pour un sous. Ah, oui. L'attaque des monstres. Sa caravane s'était faite attaqué, les créatures probablement attirée par l'odeur de nourriture émanant de leur campement ; Isendor les avait pourtant prévenu de ne pas allumer de feu. Forte heureusement, tous les mercenaires avaient pu repousser la plupart des assaillants, le reste ayant été décimé par les troupes. Le jeune homme se frotta l'arrière du crâne, qui lui était encore douloureux. L'un des Demi-Êtres avait dû le frapper par derrière, pendant le combat. Tant bien que mal, le blond tenta de se lever du lit de fortune. Nope. Fausse bonne idée ! Le monde se mit à tourner, et Taïr en eu la nausée. Doucement, il se rallongea, tandis qu'Isendor venait voir chacun de ses guerriers. L'homme à la tresse se campa près du lieu de repos :

« Tu t'es fièrement battu aujourd'hui, Taïr. » Le jeune homme ne tenta même pas de hocher de la tête ou de parler ; il aurait été capable de vomir sur son supérieur. « Nous nous reposerons pour la journée, au vu des quelques blessés. Nous partirons demain à l'aube, avec ou sans toi, alors, tiens-toi près. » Le commandant tenait à peu près le même discours à tous les soldats blessés. À peu près : Isendor était un natif de Porte-du-Loup, un village belge renommé ainsi depuis la Grande Guerre, aussi surnommée la Devastation. Elle venait à peine de prendre fin, mais les hostilités régnaient, enfin uniquement de manière... intellectuelle. Le lieu d'origine était similaire à Taïr. À vrai dire, plus jeune, le blond allait souvent en compagnie de Maria, Taram et Marius, chez le vieil homme pour écouter ses histoires d'antan. Sa voix clair et fort faisait sonner n'importe quel récit pour une aventure épique. Évidemment, son chef avait vécu toutes ces histoires, mais elles remontaient à il y a si longtemps...
Il était assez âgé, et il paraissait étonnant qu'il puisse encore tenir debout, mais Isendor savait comment mener les troupes. Le conseil du village, et son sens du devoir, l'avait conduit à faire rapatrier les volontaires et les victimes de la guerre à Néo-Paris ; nouveau centre mondial, où allait le plus grand nombre de personnes. Pourquoi ? Là-bas, on y trouverait peut-être des réponses, de l'aide ou une chance. Une chance de se reconstruire. C'était là-bas que les âmes détruites se rendaient.
C'était là-bas que Taïr se rendait.

Mais au contraire de ses semblables, si encore ils existaient, Taïr se jetait dans les bras de la Mort.

III. Que reste-t-il d'un souvenir ?

Encore aujourd'hui, je me pose la question. Qu'en reste-t-il ? Plus rien. Nous ne sommes plus que souvenirs et des détritus du genre humain, n'est-ce pas ? Chacun d'entre nous ressemble à un été qui s'achève et qui disparaît, tout comme ce que nous avons vécu disparaît à jamais. Les mots partent mais les écrits restent. N'y a-t-il rien de plus vrai que cela ? Nous écrivons malgré tout notre histoire, et celle du monde : nous refusons de disparaître après notre mort. Pourquoi ? En ce point, je n'ai jamais compris l'Homme. Ne sommes nous pas destinés à disparaître un jour ou l'autre ? Pourtant, nous tentons de nous souvenirs des uns des autres, nous tentons d'y survivre. Mais nous transmettons notre amour, notre haine, notre peur envers les uns et les autres.

Malgré tout ça, nous subsistons. Et nous restons. Je crois que se souvenir est encore la plus belle chose qui soit. Se souvenir, c'est vivre, vivre, c'est mourir, c'est disparaître. Certains se donnent la mort, moi, je ne fais que l'attendre d'où je suis. Maria. Taram. Marius. Pardonnez-moi.


IV. Une lettre de mensonge

La glace, sur la vitre, se rependait, et au dehors, la neige se fracassait. Le blond avait vu cette scène plus d'un millier de fois, mais jamais ça ne lui avait posé problème. Il aimait cette vue, tout en restant à l'intérieur, près de la cheminée, et du feu. Cet endroit semblait venir d'une autre époque, mais l'enfant n'en avait que faire. Cela faisait deux ans que le garçon vivait dans la maison, en une belle compagnie. Maria, la grande sœur, qui avait à peu près le même âge que lui, et Marius, un autre garçon, trois ans plus jeune qu'elle. Oh, bien sûr, Il était là, mais ça ne changeait pas grand chose ; Il n'était pratiquement jamais à la maison.

L'étranger s'était peu à peu accoutumé à la vie dans cet étrange habitat, tout comme l'habitation s'étaient habituée à lui. Cela peut paraître étrange, mais. La Forêt, la Maison, les Gens. Tout, tout semblait être envie ; le garçon aurait juré que la Maison respirait et que parfois, Elle lui murmurait des secrets de la vie, pendant son sommeil ou qu'Elle  le réconfortait pendant ses nombreux cauchemar. Ou bien était-ce la belle Maria, qui le réconfortait de sa douce voix ? Jamais, à son grand dam, il ne le sut.

Au delà du vitrail,  il l’apercevait. La louve qui l'attendait, qui s'était aventuré au dehors de la Forêt Mère, pour venir le voir lui. Pourquoi ? Pourquoi maintenant ? Le blond en avait les larmes aux yeux. Non. Il ne voulait pas rentrer. En aucun cas. Se souvenir n'était-il pas déjà une punition suffisante ? La réponse était non.

Le garçon sortit enfin de la cabane, et observa la louve.

« Que fais-tu là ? » Il n'eut aucune réponse, pourtant le garçon continua. « Non. Je ne rentrerais pas. Ne m'a-t-elle pas chassée de son plein gré ? », de sa réponse il s'en fichait, mais il n'y en avait aucune. Qu'il le veuille ou non, il rentrerais... peu importe où. « Oui, je sais qui je suis. Taïr, l'enfant-loup du clan Akari. Très bien. Mais ce ne sera qu'une seule fois. »
Et ce fut, sous les yeux choqués de la belle Maria, que l'enfant se transforma en un loup, qui accompagna la plus âgée. C'est quand l'ancien garçon se retourna, pour voir une dernière fois la demeure qui lui disait maintenant, qu'il aperçut la robe de la jeune fille, le tas de bois sur la neige, et le sentiment de trahison.
Tout était fini maintenant.

V. Quand dans la nuit, le loup

Taïr se souvenait bien de ses jours passés, il avait grandi, il avait aimé. Et plus important, vécu parmi les humains. Il remerciait de tout son cœur Mère, qui lui avait permis de vivre parmi eux.
Le blond s'était fait des amis, qu'il avait quitté pour mieux les protéger, et qu'il aimait du plus profond de son âme.
Il était assis sur un véhicule, qui vers Néo-Paris, les guidait. Le garçon-loup aiguisait son épée, un bien acquis en forêt, lorsqu'il protégea ses amis ; loups et humains. Il faisait toujours preuve d'un grand courage, voire même d'inconscience. Mais qu'importe. Sur son dos, un bouclier, qui le protégeait de la plupart des maux, offert par le vieil homme. Par Lui, qui n'était jamais là, mais qui pourtant veillait sur tout le monde. Dans sa poche un joyau qui avait disparu, et trouvé dans la Forêt Mère. Oui, Mère. Former un tout, c'est ce qu'est la vie. Marius, dans un élan de bonté, n'avait-il pas offert une carte à Taïr ? Rien que de penser à tout ce beau monde, le garçon loup en souriait.

« Ah ! Tu décide enfin à sourire, Taïr !? » plaisanta un autre. Le blond cessa immédiatement.

Ses pensée revinrent sur Maria qui lui avait offert la foi. C'est un terrible chose que d'y croire. Ne pas avoir son Happy End, mais avoir de faux espoirs est encore plus terrible. De part ce fait, Maria l'avait maudit, et à jamais.

Le garçon-loup se souvenait encore de son départ. Deux baisers, à deux personnes différente. Maria et Taram.
L'un et l'autre lui avait apporté la passion, mais jamais il ne les reverrait, fut-ce en partie à cause de la noirceur de cœurs.

Après tout, n'était-ce pas ça la douce vérité, sinon un terrible mensonge sur lequel on se repose ?
Des oreilles pointues, des cheveux blond. Il fait presque un mètre quatre-vingt. Il n'est pas très large, mais il arrive à s'imposer. Il n'est pas très lourd, mais peu oserait le confronter. Est-ce dû à son regard ? Oui, il est pourtant jeune, mais il sait se battre, avec une lame, mais il lui reste tant à apprendre...

Oui, une description plutôt sommaire, mais ne niez pas qu'avec ça, vous pourriez trouvez de qui il s'agit en un rien de temps. Ai-je tort ?
Alors, il est vrai qu'il ressemble à un personnage de roman, mais pourtant, il est parfaitement réel, avec ses yeux bleu acier, son visage en pointe et son nez fin, long. En vérité, il est beau. Désirable. Il a une démarche étrange, mais discrète, presque féline. Il n'est pas comme les autres. Il dégage quelque chose, qui donne envie de rester là, à lui caresser les cheveux.
Ses cheveux de pailles, ébouriffé, décoiffé. Il semble n'avoir jamais connu une brosse. Des cheveux qu'il cache souvent sous un chapeau, avec une raison, peut-être.
Il est musclé, plutôt fort, mais il ne rivalise même pas avec la plupart des soldats dans le camp. Il se défend, parfois. Il est agile, rapide, mais n'a aucune souplesse, ni équilibre.
Son costume vert n'est que son uniforme de guerrier, en rien une tenue civile. Dans ces cas-là, il porte des vêtements colorés, semblant venir d'un antique peuple de la mer du sud mais aussi d'un peuple des forêts au nord. Un mélange surprenant, étonnant mais agréable. Le tissu est beau, et doux, et heureusement, peu cher. Mais la découpe est particulière, et il ne serait pas étonnant de voir certains riches et nobles se vêtir ainsi.

Mais si seulement, sa description s'arrêtait là. N'oublions-nous pas le loup ? Qui de sa forme majestueuse était plus grand que ses compagnons ? Avez-vous vu ses yeux d'un bleu acier ? La Bête ne vous rappelle-t-elle personne. Non ?

Le jeune loup perd sa toison dorée pour la remplacer pour une fourrure aussi noir que la nuit, et gagne en crocs. Ses os se changent, ses muscles aussi, et tout cela est fort douloureux. Pour un loup, Taïr a une taille impressionnante, mais reste assez probable comme taille. Ses crocs sont aussi nombreux que ceux d'un loup, et il possède quatre pattes et une queue. Mais il conserve ses yeux, d'un bleu surprenant. Un étrange symbole semble être dessiné sur le front de la bête, et le pelage intérieur est de la même couleur : de couleur paille.
L'anneau à son oreille reste toujours présent, peu importe la forme.
Derrière l'écran
∆ PSEUDO : Klarion, le Pingouin 
∆ ÂGE :  J'ai... tout ça !
∆ MÂLE OU FEMELLE :  Pingouin eue
∆ PERSONNAGE DE L'AVATAR :  Link from Zelda Serie
∆ TU NOUS AS TROUVÉS COMMENT ?   J'te laisse deviner, amour !
∆ DES SUGGESTIONS ?  Chocolat ?
∆ LE MOT DE LA FIN :  Chocolat !
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Il voit tout
Zero
Zero
Il voit tout




Power
••• Alias : Création
••• Power : La Création
Niveau ∆ :
Quand dans la nuit, le loup || Taïr Left_bar_bleue200/100Quand dans la nuit, le loup || Taïr Empty_bar_bleue  (200/100)
Quand dans la nuit, le loup || Taïr Vide
MessageSujet: Re: Quand dans la nuit, le loup || Taïr   Quand dans la nuit, le loup || Taïr EmptyMar 25 Nov - 21:02

Quand dans la nuit... UN SALSIFIS ! T'as compris ? Nuit, salsifis, ça tombe sous le sens.
OÏ ! T'ES MÊME PAS DRÔLE D'ABORD ! èOé
PUISQUE C'EST COMME CA, JE M'OCCUPE DE TA FICHE ! TRANCHE DE PAIN !
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The Monster
Vatlaw Schiffer
Vatlaw Schiffer
The Monster




Power
••• Alias : Ravage.
••• Power : Shockwaves.
Niveau ∆ :
Quand dans la nuit, le loup || Taïr Left_bar_bleue46/100Quand dans la nuit, le loup || Taïr Empty_bar_bleue  (46/100)
Quand dans la nuit, le loup || Taïr Vide
MessageSujet: Re: Quand dans la nuit, le loup || Taïr   Quand dans la nuit, le loup || Taïr EmptyDim 30 Nov - 1:15


Quand dans la nuit, un salsifis !

Tu es désormais un combattant égalitaire de niveau 22. Tu peux dès à présent te balader dans Néo-Paris (et essayer de survivre) avec l'objet que nous t'avons délivré, qui est l'objet n°1, ton épéé. Pour récupérer les autres il te faudra aller les acheter au Marché Pandore, à l'aide de tes points d'expérience.

N'oublie d'ailleurs pas d'aller recenser ton avatar ici, ton pouvoir ici, et n'oublie surtout pas d'aller ouvrir ta fiche de liens par là ! Tu peux même aller faire une demande de logement .

Amuses-toi bien parmi-nous ♥.
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